dimanche 16 août 2009

VENT DE PARATRE

Je profite de la trêve des glaciers estivaux pour republier une ancienne annonce qui réémerge superficiellement dans le naufrage de ma blogue trépassée. C'est une pause dans l'échange humain avec Anne-Charlotte mais cependant la raison est aussi qu'elle intervint dans les commentaires du bavardage interbloguant de l'époque.
vent de paratre
"LA PHLOSOPHE"
par
Martn Hedegger

Dedans cet ouvrage on trouve toute la phlosophe sauf "i".

Les commentaires :
co2 a dit...
igel = sangsueigelkott = hérissoninympa = grefferischias = sciatiqueitu = en morceauxiver = ferveur

beouf le boeuf a dit...
Dogène le cynque voulait composer le même, et comme tout le monde sait, n'a jamais rien écrit.(A moins que ce ne soit fredrch netzsche, dans un derner accès de fole...)

Mauricette Beaussart a dit...
Vous êtes beaucoup plus beau dans cette tenue qu'en salopette. Vous voyez, pas un seul "..." dans cette phrase. Fork Georges Pérec ! (je me permets ce gros mot)

Alfonsiiiiiiina a dit...
Hi hi hi Maurcette ! Vous n'aviez pas pensé au "a dit" ! J'en ris, comme dit Fondit !

Philippe[s] a dit...
Et connaissez vous l'auteur de la Flousoufe soufie ?

Mauricette Beaussart a dit...
Je pense que c'est Hamza al Qâdr al Boutchch.

anne-charlotte a dit...
Bonjour maurcetteJe cros que la phlosophe, c'est pas votre truc. Je pense que vous manquez d'amour. Comme le dt, mon prof de phlo, ça vent de netzsche, faut avor beaucoup de chaos en so, pour donner nassance à une étole vvante...Je vous écrs un courrel...

Mauricette Beaussart a dit...
Bonjour Anne-Charlotte.Un jour mon amoureux, c'est passé et même très passé, m'a offert une étole en peau de castor. L'odeur très forte me suffoqua. Notre amour cessa dans l'année.Je constate, Anne-Charlotte que votre professeur de phlosophe a toujours une aura importante.Concernant l'auteur de Zarathoustra, vous trouverez une note à son sujet dans le passé de ma blogue : Là !J'attends votre message dans le calme et la douceur de mon âge ancestral.

4 commentaires:

Lise a dit…

Bonjour, Mauricette, je suis un peu surprise par l'annonce de votre biographie mise en mtos par monsieur Suel. Je vous aurais bien vue l'écrire, vous, avec vos mots à vous dans votre vie à vous. Avez-vous eu la possibilité de lire le manuscrit avant de donner votre accord ?

Disons que je reste, depuis lors, sur l'expectative, .. il m'arrive à moi aussi , d'♪6tre patiente.

Mauricette Beaussart a dit…

Je comprends clairement votre trouble, chère Lise. Je tentai une réponse dans le cours de la publication de l'échange avec Anne-Charlotte. Ma biographie ne sera jamais complète. Mais je ne l'écrirai pas. Je ne suis pas dans l'auto. Je me contente de vivre en respirant par le nez. La patience n'est pas seulement un jeu avec du rouge et du noir. Même si je suis racontée dans la fiction, je ne suis pas fictionnelle. D'ailleurs je me fictionne avec un air supplémentaire et de l'eau de colonne.

Lise a dit…

Ma chère Mauricette, on peut prendr, dans l'écriture, toutes les libertés que l'on veut, sans doute la seule liberté existante, et la dérobade est le propre du mot : il ne se tourne pas uniquement vers les quatre points cardinaux - qui, même à Rome, sont capables de se diviser en des multitudes primaires, secondaires et tertiaires - il va vers l'infinie en poussières d'étoiles. Bien fin celui ou celle capable de le réunir en bloc compact, plus tard.
Mercipour votre réponse, je me faisais un souci d'encre, j'aime savoir que vous restez vous, l'authentique et multiple Mauricette, échappant à l'armature des phrases. Bisous.

Mauricette Beaussart a dit…

Ne vous en faites pas pour les soucis, amie Lise de l'Ouest. Ou alors seulement à l'encre jaune. C'est très joli de tremper un petit bâton dans le pollen et de le passer sur la feuille en papier.
Vous avez compris que je ne me laisse pas corseter dans les baleines, ni dans les bretelles.
Je suis bien dans ma propre langue.