Un plaisir de veaux, tout juste sevrés.
Cécile Ladjali, Ordalie, Actes Sud, août 2009. (page 50)
dimanche 21 mars 2010
UN LONG LONG CHEMIN
Il vit peut-être deux douzaines de dépendances diverses : basses-cours, porcheries, cabanes pour la tourbe, étables pour les veaux, box pour les chevaux. (page 282)
C’est exactement comme quand on marque un jeune veau. (page 302)
Sebastian Barry, Un long long chemin, Editions Joëlle Losfeld, avril 2006
C’est exactement comme quand on marque un jeune veau. (page 302)
Sebastian Barry, Un long long chemin, Editions Joëlle Losfeld, avril 2006
vendredi 12 mars 2010
CAR BONNE EST LA TAXE
Je suis patiente et vous êtes patients dans l'attente que je me déléthargisse. Dans certaines périodes je fus par foi(s) sujette avec une mélancolie irrépréhensible. Le dictionnaire de ma médecine sait qu'il n’existe pas de traitement médical ou chirurgical de l’idiotie.
J'ai ma façon de lutter en avant contre le surpeuplement, une méthode non-swiftienne : je stérilise mes bocaux pour empêcher la reproduction des haricots verts ou des confitures. Et comme je fais bouillir de l'eau, je m'économise des impôts carbonifères en faisant sécher les fruits au soleil à la fenêtre pour ne pas consommer de pétrole et je sais congeler les petits pois en les enveloppant dans la bavette de bœuf pour éviter de proliférer en sachets de plastique.
Quand on vit sous le niveau de la mer, on peut être recouvert de guano de poisson jusqu’au plafond dans les charentaises du vent des globes. Alors on est obligé de nager dans la patmo selon la phormule de Sokrat à l'envers.
J'ai ma façon de lutter en avant contre le surpeuplement, une méthode non-swiftienne : je stérilise mes bocaux pour empêcher la reproduction des haricots verts ou des confitures. Et comme je fais bouillir de l'eau, je m'économise des impôts carbonifères en faisant sécher les fruits au soleil à la fenêtre pour ne pas consommer de pétrole et je sais congeler les petits pois en les enveloppant dans la bavette de bœuf pour éviter de proliférer en sachets de plastique.
Quand on vit sous le niveau de la mer, on peut être recouvert de guano de poisson jusqu’au plafond dans les charentaises du vent des globes. Alors on est obligé de nager dans la patmo selon la phormule de Sokrat à l'envers.
vendredi 5 mars 2010
UN DERNIER VERRE EN ATLANTIDE
Je pleure comme un veau quand Violetta m’embrasse une dernière fois sur le tarmac de l’aéroport.
Jérôme Leroy, Un dernier verre en Atlantide, La Table Ronde, février 2010 (page 73)
Jérôme Leroy, Un dernier verre en Atlantide, La Table Ronde, février 2010 (page 73)
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