lundi 21 septembre 2009

LES VOIES NAVIGABLES

C’étaient des ragots qui se répandaient entre les étals, sur le marché, comme le cri des veaux et des cochons, rien de plus ; ça n’irait pas plus loin. (page38)
Philippe Fumery, Les voies navigables.
Les Impressions Nouvelles Paris-Bruxelles, avril 2003

2 commentaires:

Mauricette Beaussart a dit…

Mon amie Cécile n'a pas pu codifier son commentaire et j'ai pensé que c'était dommage. Je suis allée le pêcher dans son blog et je l'ai ramené tout vivant ici.
cecile_richard le 21-09-2009 à 20:10:25 #

bonjour Mauricette

en fait j'ai voulu faire un commentaire sur votre blog
en fait il a jamais voulu mon mot de passe qu'est le bon pourtant
en fait ça m'énerve trop quand ça marche pas
en fait j'espère y arriver bientôt sans assistance
en fait ça fait longtemps que je suis pas venue vous visiter
en fait j'ai vu votre commentaire à vous avec le pipi dans la mer (ça oui j'adore aussi comme pipi!)
et en fait je viens vous remercier pour votre joli commentaire
en fait j'ai lu votre patience dans les mots et j'aime beaucoup ceux dans votre tête
en fait je viens aussi remercier votre ami Lucien
en fait je suis bien désolée de ne pas avoir pu faire dédicacer la patience (la vôtre) l'autre jour
en fait il y avait tant de gens et j'ai dû partir
vous lui direz bien cela!

vous avez aussi toute mon amitié Mauricette

petit pois du nord

Mauricette Beaussart a dit…

Et de ce fait, je lui réponds sur ma place.
Oui, notre ami commun m'a tout raconté. Il avait même le poignet douloureux de soutenir et manipuler son stylo-plume noir...
Je sais qu'il ira bientôt de nouveau dans la capitale de la braderie et des moules et lorsqu'il vous verra, il pourra déposer une griffe amicale sur votre livre.
Bonne journée à vous, Princesse au Petit Pois.