Y'a des queues-de-veau dans le temps, il va pleuvoir...
Ces paroles si souvent répétées par mon grand-père, et aussi mon père, par la force des choses, me revenaient à l'esprit.
Au sol, être comme une queue de veau, sur le parterre des vaches, c'est la nervosité, l'agitation de tout le corps qui pousse à plusieurs tâches à la fois, sans pouvoir se contenir.
Josée Marcotte, Mémoires d'outre-songe n°8
mercredi 7 septembre 2011
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