samedi 6 février 2010

ELEMENT VEGETAL - GROS POISSON (15)

FEUILLE - THON
Quinzième épisode
Cet épisode est remarquablement bien construit, avec un suspense excellent.
La mise en scène a été réalisée avec beaucoup d'élégance et de précision.

à suivre...

2 commentaires:

cecile a dit…

me voilà téméraire ce soir pour tenter à nouveau de vous laisser un message sachant que d'habitude je n'y arrive pas et que la dernière fois je vous ai laissé un message sur mon propre blog qui s'appelle depuis peu le glOb et non plus le globe de petit pois, ne m'en voulez pas d'abandonner le buccolique et la référence jardinière, en tout cas j'ai pas changé la couleur du glOb par contre on dit que mes dessins sont inquiétants mais qu'est-ce que je peux bien y faire, bon là je m'apprête à vous envoyer ce commentaire, d'ailleurs j'aime beaucoup vos écritures chère Mauricette et je voulais vous le dire en toute simplicité voilà!
je vous salue bien amicalement.
Cécile (petit pois)

Mauricette Beaussart a dit…

Ma chère Cécile Petitpois. Oh comme j'ai honte de ne pas répondre comme au tennis de table. L'arthrose n'a rien à voir dans ma lenteur de procrastinopode vieillissante. Je suis paresseuse. Voici la vérité. Je crois qu'il suffit de penser très fort à mon amitié réciproque et mes vrais amies sont en communication. On me dit que je devrais construire un mur de facelivre, mais je m'endors debout au pied des briques.
Vos dessins ne m'inquiètent pas du tout. J'en vois dans ma cocotte-minute comme les traces des pommes de terre cuites à l'eau dans la pelure de leur robe de chambre, ça fait des beaux dessins et c'est naturel. On ne voit plus les pommes de terre parce que je les ai mangées, mais les dessins sont restés et on ne dirait qu'ils sont naturels. On pourrait croire qu'un monstre est caché avec ses frères dans l'aluminium de ma cocotte minute, mais non, c'est juste un fantôme ou un ectoplasme de pomme de terre et je suis rassurée.
Portez-vous bien, chère Cécile. J'espère bien vous revoir bientôt. Pour échanger des amitiés tout simplement, sur la côte d'Opale, n'est-ce-pas ?