vendredi 16 octobre 2009

LES ORGANES DE LA VACHE

Quand on découpe dans le travers une maman du veau, l'intérieur se déveauoile à nos yeux d'émerveillement. En cliquant le "petit joujou", les organes s'agrandissent du maximum.

6 commentaires:

HK/LR a dit…

une vache est une vache est une vache

a écrit Gertrude (hol) Stein


http://www.animal-services.com/sites/race_bovines_holstein.php3

L'affabulette a dit…

Bonjour Mauricette,
Voici quelques semaines, dans un vieux numéro de La Revue Littéraire/édit. Léo Scheer (n° 19/octobre 2005) que j'avais commandé pour tout autre chose, j'ai découvert le "Journal d'un veau" de Jean-Louis Giovannoni, ici extrait d'un roman à paraître.Cela m'a fait penser à vous. C'est un très beau texte que, j'imagine, vous devez connaître. Je vous le signale juste au cazou...
Citation - "Je n'ai pas honte de le dire : je veux que ma viande soit blanche. Je ne supporterai pas la moindre coloration interne." Etc.
Bien à vous.

Mauricette Beaussart a dit…

Ma chère Affabulette. Grand merci de votre visite et de votre contribution à l'oeuvre anthoveaulogique. J'avais ouï dire de ce Journal du jeune veau (assez pléonastique) car "Giovannoni" ne signifie ce point "Jeune veau" en transalpin...
J'ai pour ma part rencontré une tranche de cette viande blanche dans le Journal (Memorandum)de Jules Barbey d'Aurevilly, que je lus ces derniers jours.
Je le publierai bientôt en ma blogue d'*.*
Je vous encourage à lire. C'est de la bonne activité, et parfois, on rencontre des veaux dans le cours du livre et c'est toujours une bonne surprise.

Anonyme a dit…

Oups !
Le Giovannoni m'apparaît soudain dans toute la splendeur de son étymo-logico-patronyme mimique !
Je m'en repais. je broute cette belle herbe verte des trucs tordus et si réjouissants que nous offrent les mots et leurs sonorités lorsqu'ils sont couplés à des biographies et aux mystères de la psychologie des pro-frondeurs. Bref, tout se mélange ici à l'envi. De telle sorte que c'est une vraie joie, oui. En tout cas pour moi. Tenez, Mauricette, je file m'acheter une tranche de veau. Que c'est si bon ! Je vous embrasse. Et merci pour le livre re veau mandé !

Anonyme a dit…

Sorry ! L'affabulette ne parvenant pas à "poster" (Ah ces grèves !) sous cet identifiant habituel (poètes vos papiers !!!) vient de vous écrire sous "anonyme" et s'en excuse.Basta.

Mauricette Beaussart a dit…

Ne vous inquiétez point, chère Affabulette, j'ai déjà reçu du courrier anonyme signé "Anonyme". C'est courant dans l'Internette des affabulations.
Même dans l'anonymat, on peut choisir son pseudonyme.
Bon appétît pour votre tranche.